Réagissant jeudi 12 décembre, au rapport de l’Amnesty International sur la répression sanglante des combattants Wazalendo, le Gouvernement congolais a affirmé avoir établi les responsabilités.
Son porte-parole, Patrick Muyaya a fait cette affirmation lors du briefing de presse, co-animé avec son collègue de l’Intérieur et Sécurité, Jacquemin Shabani, à Kinshasa.