« Il n’y a aucun tabou à aborder la question de la révision constitutionnelle pourvue que les discussions préalables n’aient pour seule boussole que l’intérêt supérieur de la nation », a indiqué, mardi 3 décembre, le président du Conseil économique et social (CES).
Il a fait cette déclaration lors de la clôture de la session ordinaire d’octobre de cette structure, à Kinshasa.