Dans le territoire de Beni, la persistance de l’activisme des groupes armés empêche les déplacés internes de regagner leurs villages d’origine, et aggrave l’instabilité dans la région. Cette situation a été mise en lumière le mercredi 11 décembre par le colonel Marcel Shalunga, administrateur adjoint du territoire de Beni, lors d’un atelier d’évaluation de la situation sécuritaire. Cet atelier s’appuyait sur une enquête menée par l’Organisation internationale des migrations (OIM).